Bière, au Pied du Jura vaudois
Le passé au service de l’avenir
Notre passion et la vôtre
Vers la fin du XIXe siècle, Elisabeth et son mari doivent quitter leur...
Durant toute une année dans les environs de son domicile, l’auteur, qui...
Encouragé par l’enthousiasme des visiteurs de la cathéralde de Fribourg...
La Franche-Comté est sans doute la région qui apporta le plus son soutien à la Révolution et au Premier Empire. Dès 1791, trente-cinq bataillons de volontaires nationaux sont formés et les Comtois figurent parmi les Français les plus patriotes. Ils seront mêlés à tous les événements historiques, se battant en Egypte, à Saint-Domingue, en Espagne, en...
Une nature, un tempérament, cette Regula Engel que l’on a surnommée l’Amazone de Napoléon. Née à Zurich, elle a vécu toute l’épopée napoléonienne dans les rangs des armées françaises aux côtés de son époux, le colonel Florian Engel, tué à Waterloo. Pas une seule campagne manquée entre 1792 et 1815 – d’Egypte en Italie, des Pays-Bas en Allemagne et en Russie.
Même au sommet de leur puissance, les dictateurs les plus résolus rencontrent des échecs. Celui qu’a connu Hitler en juin 1940 dans ses plans contre la Suisse est rarement souligné.L’histoire du projet hitlérien d’encerclement de la Suisse dévoile quelques failles dans la mécanique nazie.
Pays d’agrément ou lieu d’exil, la Suisse a été intimement liée aux destins de la famille Bonaparte. Napoléon la dota d’une constitution sur laquelle repose encore aujourd’hui une grande partie de la Suisse moderne. Son frère aîné, Joseph, déchu d’Espagne, crut trouver dans le château de Prangins une douce retraite, mais l’histoire en décida autrement.
Cet important travail de mémoire préfacé par Lucien Rose nous donne une vue apaisée de la tragédie que la France a connue avec la défaite de 1940, l’occupation allemande et la collaboration de Vichy. Au-delà de la complexité d’événements vécus au jour le jour par les Français et particulièrement par ceux qui ont choisi la résistance, demeure le choix de...
Troisième livre publié par le Groupe de Travail Histoire Vécue, après «La Suisse face au chantage» et «La Suisse au pilori?», il compare le comportement de la Suisse pendant la Deuxième Guerre mondiale à celui des autres pays neutres, y compris les Etats-Unis jusqu’à leur entrée en guerre à fin 1941.
Moïse Zumero, né à Saint-Jean-d’Acre en Palestine, en 1789, dernier mamelouk de la Garde impériale, connut un destin exceptionnel sous le règne de Napoléon Ier.
Le général Henri Guisan (1874–1960), commandant en chef de l’armée suisse durant la Seconde Guerre mondiale, a symbolisé la volonté de tout un peuple de préserver son indépendance, par les armes, si nécessaire. Cet ouvrage n’est ni une nouvelle biographie, ni une hagiographie, mais une étude originale.
Fondateur du Centre d’histoire et de prospective militaires (CHPM), le colonel Daniel Reichel (1925-1991) fait partie des grands historiens qui, dans la lignée d’André Corvisier ou de Louis-Edouard Roulet, ont cherché à renouveler l’histoire militaire en la décloisonnant, et en y ajoutant une dimension nouvelle, la prospective.
Les soldats vaudois ont largement contribué à crédibiliser l’entité vaudoise au sein d’une Confédération où la dimension militaire était primordiale. D’un bout à l’autre de notre histoire, aucun Vaudois n’a fait couler autant d’encre que le major Davel et le général Guisan, tenant et aboutissant naturels et légitimes de cette présentation des grands...
Cet ouvrage met enfin à la portée de chacun les carnets de guerre rédigés de 1939 à 1945 par le chef de l’état-major particulier du général Guisan, Bernard Barbey, qui y retrace son engagement au quotidien.
Un petit pays, qui manque de matières premières et importe une grande partie de ses biens de consommation, et ne supporterait donc pas un blocus étanche, peut-il se défendre seul contre un envahisseur puissant et déterminé?